DECOUVREZ CE MEGA - SITE !! « Personne n'éduque personne, personne ne s'éduque seul, les hommes s'éduquent ensemble par l'intermédiaire du monde. » (Paulo Freire dans "Pédagogie des opprimés...
« Il arrive un moment où la question n'est plus de continuer à accumuler de nouvelles connaissances, de nouveaux discours, d'autres théories encore; tout à coup il s'agit de trouver, avec sa passion, son désir, son instinct, un point fixe d'où l'on puisse maîtriser les choses. La question n'est plus de l'origine des choses et de leur fonctionnement; la question urgente devient soudain celle du sens de ces données. » (http://perso.wanadoo.fr/claude.rochet/ , Eugen Drewermann, Sur L'homme riche)
Ce site est un mix multimédia, un pillage honteux. Il rassemble des arguments formulés pour certains depuis plusieurs années, dans des articles de journaux, des livres, des documentaires, etc. Ce sont des éléments de compréhension utiles pour combattre certaines idées reçues comme la notion de "charges" sociales, la dette publique, ... Celles-ci bénéficient d'un large écho dans les médias, ce qui leur donne une certaine légitimité. Un des enjeux est ici de montrer qu'elles sont instrumentalisées pour justifier l'ordre économique dominant aujourd'hui : le néolibéralisme.
Ne haïssez pas les médias, devenez les médias !
« Les eaux captives, que ce soient celles de l’habitude ou du despotisme, ne tolèrent pas la vie. La vie dépend de l’agitation de quelques individus excentriques. En hommage à cette vie, à cette vitalité, la communauté doit accepter des risques et une certaine part d’hérésie. L’Homme, s’il veut vraiment vivre, doit vivre dangereusement. » Herbert Read
Ce qu'il faut saisir, c'est que la fiscalité permet de répartir les richesses, c'est donc un véritable choix de société. De plus pour les libéraux, il y a tout un discours pour limiter le rôle de l'Etat à des fonctions simples (police, armée, justice), limiter ses dépenses publiques notamment sociales. La mondialisation, la concurrence internationale, le pacte de stabilité Européen nous sont présentés comme des contraintes externes pour réduire les recettes et les dépenses de l'Etat. Mais ce n'est pas vrai car ce sont bien les gouvernements qui décident de leurs propres impuissances en matière sociale.
Voir l'article : 6.Rôle de l'Etat
Voir l'article : 6.3.Contourner les démocraties
Quoiqu'on en dise, c'est un fait indiscutable, nous vivons en France sur un socle de droits : le droit de vote au suffrage universel des femmes et des hommes, l'abolition de l'esclavage, l'abolition des privilèges, le droit de manifester, le droit d'association, le droit du travail, l'égalité des citoyens devant la loi et bien d'autres encore ... Des droits innombrables, précieux qui sont cependant le plus souvent inappliqués, intentionnellement, par lâcheté ou par manque de volonté politique. Ils nous paraissent si "naturels" qu'on en oublierait leurs origines historiques.
« Les services publics et les acquis sociaux, arrachés de haute lutte par des générations d’ouvriers et d’employés, ne résultent pas d’une grâce providentielle. Ils ne sont pas la propriété de l’État. Ils appartiennent à l’ensemble des citoyens. » (Raoul Vaneigem, 2004)
« Les acquis sociaux dont je parle, droit du travail, sécurité sociale, pour lesquels des hommes et des femmes ont souffert et combattu, sont des conquêtes aussi hautes et aussi précieuses et qui, en outre, ne survivent pas seulement dans les musées, les bibliothèques et les académies, mais sont vivantes et agissantes dans la vie des gens et commandent leur existence de tous les jours. C'est pourquoi je ne puis m'empêcher d'éprouver quelque chose comme un sentiment de scandale devant ceux qui, se faisant les alliés des forces économiques les plus brutales, condamnent ceux qui, en défendant leurs acquis, parfois décrits comme des «privilèges», défendent les acquis de tous les hommes et de toutes les femmes, d'Europe et d'ailleurs. » (Contre-feux, Pierre Bourdieu, 1998, p66-p67)
« Pour inventer l'idée de « public » par opposition à « privé », il a fallu des générations de juristes, de philosophes. Or tout ça, on le liquide et on s'en va. C'est pour cela que le sociologue intervient. On met en place des processus dont les effets n'apparaîtront que dans très longtemps. Il faudra du temps, parce qu'avant que le système hospitalier s'écroule, il y a encore des infirmières qui se dévouent, encore des tas de gens qui en quelque sorte sauvent le système presque malgré lui. Le système scolaire, c'est pareil. Le système scolaire français est en voie d'implosion. Alors, est-ce qu'on peut se taire quand on pense que... Il y a urgence. » (Pierre Bourdieu, Entretien avec Philippe Fritsch, Lyon, 11 février 1999, dans « Propos sur le champ politique », p46-47)
DÉCOUVREZ LES IMMENSES RICHESSES DE CE MÉGA - SITE
Ce site est un mix multimédia, un pillage honteux.
Il rassemble des arguments formulés pour certains depuis plusieurs années, dans des articles de journaux, des livres, des documentaires, etc.
Ce sont des éléments de compréhension utiles pour combattre certaines idées reçues comme la notion de "charges" sociales, la dette publique, ... Celles-ci bénéficient d'un large écho dans les médias, ce qui leur donne une certaine légitimité.
Un des enjeux est ici de montrer qu'elles sont instrumentalisées pour justifier l'ordre économique dominant aujourd'hui : le néolibéralisme.
http://abel.jerome.free.fr/outils/