>> Qui parle ainsi AUSSI clairement ?
Aujourd’hui
je ne suis pas sûr,
quels que soient la colère et les désirs de changement,
que la gauche soit majoritaire dans le pays.
Il y a un rejet de Sarkozy.
Mais
la dynamique sociale politique n’est pas aussi forte
qu’on le souhaiterait.
Par [contre],
il y a une vraie réalité,
celle d’un vote
Front national
qui participe
des conditions
du combat politique.
Il y a des diversités d’approche sur le possible à gauche avec la 'gauche-de-la-gauche',
le problème c’est de savoir
si,
à partir de là,
on tombe dans nos errements passés
qui font de nos voisins de gauche l’ennemi,
ou si,
chacun portant ses propres orientations,
nous demandons aux électeurs de trancher par leurs votes !
?