UN 1er MAI QUI POURRAIT PESER ! RDV pour le Collectif Bellaciao face à Habitat, 14H pl. de la République, Paris
mardi 1er mai 2007 -01:09

RDV pour le Collectif Bellaciao face à Habitat, 14H pl. de la République, Paris
de Paule Masson
Manifestations . La fête du travail est l’occasion, demain, de faire entendre les revendications des salariés, la veille du débat télévisé et à cinq jours du scrutin.
L’exceptionnelle participation dans les urnes lors du premier tour de l’élection présidentielle est-elle de nature à entraîner une forte mobilisation sociale le jour de la Fête du travail ? Le 1er Mai offre l’opportunité que continue de s’exprimer les préoccupations sociales entre les deux tours et à la veille du face-à-face télévisé entre Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy. Lire la suite - Commenter l'article

mardi 1er mai 2007 -00:56

RDV pour le Collectif Bellaciao face à Habitat, 14H pl. de la République, Paris
de la CGT
Dans le monde entier, les salariés et leurs organisations syndicales vont se mobiliser pour faire entendre leurs revendications sociales et les exigences de solidarité et de paix.
La Cgt appelle toutes ses organisations professionnelles et territoriales à se saisir de ce 1er Mai pour en faire une journée de mobilisations revendicatives et de convergences d’actions.
Retrouvez les initiatives prévues pour le 1er mai 2007. (Situation au 30 avril 2007 ) Lire la suite - Commenter l'article
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lundi 30 avril 2007 -18:18

de Jean-Pierre Stroobants
Le Parti du travail néerlandais, qui a accepté d’entrer en février dernier dans un gouvernement de grande coalition avec les chrétiens-démocrates du premier ministre Jan Peter Balkenende, vainqueur des élections législatives, est entré dans une crise profonde. Débordé à sa gauche par le Parti socialiste du très populaire Jan Marijnissen (gauche antilibérale), qui a désormais 26 députés à la chambre, la formation social-démocrate est à la recherche d’une nouvelle ligne politique.
Cette crise s’est matérialisée la semaine dernière, mercredi 25 avril, par la démission du président du parti, Michiel van Hulten, imité un peu après par tous les membres de la direction. Le départ de ce dirigeant nommé en 2005 s’expliquerait par un désaccord sur l’organisation du parti social-démocrate. S’il est revenu au pouvoir, il a réalisé un très mauvais score lors des élections du 22 novembre dernier, qui n’a donné de majorité à aucun des deux grands partis de gouvernement traditionnels. Entré en fonction alors que sa formation culminait dans les sondages, M. Van Hulten porte le chapeau pour une campagne jugée calamiteuse qui s’est finalement soldée par la perte de 9 sièges. Lire la suite - Commenter l'article

lundi 30 avril 2007 -17:40

José Bové avec Ségolène Royal pour contrer Nicolas Sarkozy
José Bové explique avoir choisi de se rallier à Ségolène Royal en vue du second tour de l’élection présidentielle pour contrer Nicolas Sarkozy, qui incarne selon lui "la société du conflit permanent".
Lors d’un point de presse au siège de campagne socialiste, le candidat altermondialiste a approuvé du bout des lèvres la stratégie d’ouverture au centre de la candidate du PS, du PRG et du MRC qui lui a confié une mission sur la mondialisation et la souveraineté alimentaire.
"Il y a aujourd’hui une nécessité de réunir une majorité de Français (...) Ce que j’entends aujourd’hui autour de moi me montre qu’une majorité de Français sont sensibles à cette nécessité du vivre ensemble et que les électeurs, je pense, de François Bayrou sont aussi sensibles que d’autres à ces thèmes-là", a déclaré José Bové. Lire la suite - Commenter l'article
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lundi 30 avril 2007 -10:33

de Octave Bonnaud
Henri Emmanuelli, figure de la gauche du PS, a appelé vendredi à "la création d’un grand parti progressiste" de toute la gauche, au moment où Ségolène Royal tente un rapprochement avec le centre pour gagner l’élection présidentielle le 6 mai.
Par cette annonce, l’ancien premier secrétaire du PS marque par avance sa défiance à l’égard de toute alliance politique et programmatique avec ce qu’il a toujours considéré, et beaucoup de socialistes avec lui, comme "une partie de la droite".
Selon le député des Landes, un mitterrandiste historique, ce nouveau parti présenté comme "un élargissement du socle politique et électoral" du PS, devrait réunir "les anti-libéraux" et "les réformistes de gauche". M. Emmanuelli prend au mot la candidate socialiste : "Ségolène Royal a raison de dire qu’il faut bouger". Mais pour lui, il ne s’agit pas de bouger vers le centre. Lire la suite - Commenter l'article
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lundi 30 avril 2007 -07:53

"M. Sarkozy réveille le racisme latent des gens"
de Chérif GHEMMOUR
Footballeur engagé, Lilian Thuram explique les raisons pour lesquelles il s’oppose, sur toute une série de thèmes, aux propositions de Nicolas Sarkozy, et donne sa vision de la société française. Entretien.
Que pensez-vous des résultats du premier tour ?
On pourrait dire qu’il y a un recul du FN mais c’est Sarkozy qui a récupéré les voix de Le Pen. Les discours du FN s’est banalisé dans la société. Les mots de Le Pen n’ont jamais été aussi présents et, ce qui est dramatique, c’est que ses idées sont portées par un homme issu d’un grand groupe politique, l’UMP. Je trouve ça triste. Moi, ma priorité, c’est de tout faire pour que les gens vivent ensemble, se respectent et qu’on ne cherche pas des boucs émissaires. Or, c’est ce que font les discours de Le Pen, Villiers et, dernièrement, de Sarkozy. Je me dis donc que ma vision de la société n’était pas celle de pas mal de Français puisque Sarkozy est arrivé en tête. Lire la suite - Commenter l'article
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lundi 30 avril 2007 -00:32

de Blaise Pascal
L’HOMME est né pour penser ; aussi n’est-il pas un moment sans le faire ; mais les pensées pures, qui le rendroient heureux s’il pouvoit toujours les soutenir, le fatiguent et l’abattent.
C’est une vie unie à laquelle il ne peut s’accommoder ; il lui faut du remuement et de l’action, c’est-à-dire qu’il est nécessaire qu’il soit quelquefois agité des passions, dont il sent dans son coeur des sources si vives et si profondes.
Les passions qui sont les plus convenables à l’homme, et qui en renferment beaucoup d’autres, sont l’amour et l’ambition : elles n’ont guère de liaison ensemble, cependant on les allie assez souvent ; mais elles s’affoiblissent l’une l’autre réciproquement, pour ne pas dire qu’elles se ruinent. Lire la suite - Commenter l'article
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lundi 30 avril 2007 -00:04

Rdv : 14h, place de la République
de Collectif Bellaciao
Le XIXe siècle voit la naissance de la classe ouvrière.
La prolétarisation du travail se développe au fur et à mesure que la mecanisation industrielle vient remplacer les anciennes formes de production.
Les employeurs sont les maîtres absolus des entreprises et les conditions de travail sont misérables.
Les journées de travail comportent souvent 15 a 16 heures par jour sans repos hebdomadaire et encore moins annuel.
Des enfants de 6 ans travaillent souvent dans les usines et les mines, des femmes sont employées au fond de la mine et à des travaux pénibles et insalubres. Les ouvriers n’ont pas le droit de s’organiser. Lire la suite - Commenter l'article
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dimanche 29 avril 2007 -19:36

Le résultat du premier tour des élections françaises qui, le 22 avril dernier, a porté au second tour qui aura lieu le 6 mai, Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal – Sarko et Ségo, comme on dit ici – suggère de nombreuses considérations.
La première, servie à toutes les sauces avec empressement par ceux qui font la propagande de ce que l’on appelait à une autre époque le "crétinisme parlementaire", c’est que le taux de participation aux élections a été de 85%.
Pour retrouver un pourcentage aussi élevé, il faut revenir en arrière de plus de quarante ans, en 1965, quand De Gaulle sortit vainqueur, contre Mitterrand, des premières (mise à part l’ "élection" de Louis Napoléon, alias Napoléon III, en 1948) élections présidentielles à suffrage universel direct en France.
Il s’agirait d’un important signal de vitalité du système démocratique bourgeois, celui de la démocratie indirecte : dommage que l’éloignement entre les électeurs et les élus, entre les citoyens et les institutions qui les représentent, entre "politique" et société soit resté le même, de toute évidence. Lire la suite - Commenter l'article
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