MONTPELLIER - "Il n'y a peut-être plus d'espoir de grand soir mais il reste encore des soirs de grand espoir."
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Présidentielle 2007 Mardi 21 Novembre 2006
Marie George Buffet, à Montpellier
rassemble 4000 personnes.

Il n'y a peut-être plus d'espoir de grand soir mais il reste encore des soirs de grand espoir. À l'image de cette soirée montpelliéraine qui, vendredi, a réuni 4 000 personnes dans le Parc des expositions de Montpellier.
Aussi fort, ont noté nombre d'intervenants, que les meetings organisés dans la dernière ligne droite de la campagne référendaire en 2005. La composition de l'estrade avait d'ailleurs un goût de mai, puisque Jean-Luc Mélenchon (PRS), invité de dernière minute, y avait pris place.
"Quand la gauche renonce face au libéralisme, elle échoue. Et elle a échoué pour trois raisons : elle a signé le traité d'Amsterdam, elle n'a pas mené à bien une grande réforme fiscale, elle n'a pas instauré des avancées démocratiques. » Pour la secrétaire nationale du PCF, « le PS ne tire pas les mêmes enseignements que nous de l'échec du 21 avril. Il réaffirme son social-libéralisme ». Mais « l'alternative à Sarkozy, ce ne peut pas être la gauche Royal ». Puis de conclure : « Si nous partons si nombreux, pourquoi ne nous fixons-nous pas l'ambition d'être majoritaires (...), d'être gagnants dès 2007, car il y a urgence. "
S'adressant aux "hommes et femmes de gauche, qui veulent réellement une réforme de la fiscalité, une reconstruction du secteur public, de nouveaux droits pour les salariés (...), je leur demande de se rassembler et de créer une nouvelle majorité à gauche sur un programme de transformation sociale, anti-libéral", a poursuivi la secrétaire nationale, regrettant la candidature déjà déclarée d'Olivier Besancenot (LCR).
"Les hommes et les femmes de ce pays ne veulent pas revivre ce qu'ils ont vécu en 2002, ils ont envie que la gauche se rassemble".
Aussi fort, ont noté nombre d'intervenants, que les meetings organisés dans la dernière ligne droite de la campagne référendaire en 2005. La composition de l'estrade avait d'ailleurs un goût de mai, puisque Jean-Luc Mélenchon (PRS), invité de dernière minute, y avait pris place.
"Quand la gauche renonce face au libéralisme, elle échoue. Et elle a échoué pour trois raisons : elle a signé le traité d'Amsterdam, elle n'a pas mené à bien une grande réforme fiscale, elle n'a pas instauré des avancées démocratiques. » Pour la secrétaire nationale du PCF, « le PS ne tire pas les mêmes enseignements que nous de l'échec du 21 avril. Il réaffirme son social-libéralisme ». Mais « l'alternative à Sarkozy, ce ne peut pas être la gauche Royal ». Puis de conclure : « Si nous partons si nombreux, pourquoi ne nous fixons-nous pas l'ambition d'être majoritaires (...), d'être gagnants dès 2007, car il y a urgence. "
S'adressant aux "hommes et femmes de gauche, qui veulent réellement une réforme de la fiscalité, une reconstruction du secteur public, de nouveaux droits pour les salariés (...), je leur demande de se rassembler et de créer une nouvelle majorité à gauche sur un programme de transformation sociale, anti-libéral", a poursuivi la secrétaire nationale, regrettant la candidature déjà déclarée d'Olivier Besancenot (LCR).
"Les hommes et les femmes de ce pays ne veulent pas revivre ce qu'ils ont vécu en 2002, ils ont envie que la gauche se rassemble".